Je suis heureuse que tu sois là, parce que si t’as décidé de cliquer sur cet article, c’est parce que même si tu le réalises pas, ou même si tu te l’avoues pas encore, au fond de toi, tu sais que tu as du potentiel et tu sais qu’une meilleure vie t’attend.
Et je suis là pour te rappeler que c’est le cas, que tu peux devenir la femme que tu rêves d’être. Que tu peux être comme ces personnes que t’admires, qui t’inspirent et qui ont la vie que tu veux vivre.
Parce que ces personnes que t’admires, elles sont tout autant magiques que toi. Elles ont rien de plus à part le fait qu’elles ont osé suivre cette petite voix qui leur disait qu’elles sont faites pour plus.
Il y a des grandes chances pour que ces personnes se soient senti comme toi tu te sens maintenant ou comme moi je me suis sentie pendant très longtemps : à savoir insatisfaite de ma vie, perdue, avec l’impression de stagner et de ne pas savoir où aller.
Tu n’en demandes pas trop
Je pense que pas beaucoup de personnes te diront ce que je vais te dire : le fait que tu te sentes inconfortable, le fait de penser que ta vie ne peut pas se résumer qu’à ça, le fait de stagner et d’en avoir marre de ta réalité actuelle, c’est pas un signe que t’en demandes trop, que tes rêves ne sont pas faits pour toi, ou que tu devrais juste apprendre à avoir plus de gratitude.
Cet inconfort, c’est le signe ultime que ton prochain niveau est prêt à t’accueillir et que ta place est désormais ailleurs.
T’as déjà vu comme les plantes arrêtent de pousser et quand tu les changes de pot elles doublent de volume en quelques jours?
Imagine comment elle se sent la plante, dans son trop petit pot, quand elle aimerait grandir mais qu’elle a pas assez d’espace.
Inconfortable. Etouffée. Pas à sa place.
Donc si toi aussi tu te sens comme ça en ce moment, c’est qu’il est temps de te laisser de l’espace pour grandir.
Mais si tu veux évoluer et arriver à ton prochain niveau, c’est à toi d’adapter ton environnement. Comme avec la plante, il faut changer de pot. Il faudra plus de terre, plus d’eau au quotidien.
Et au début, c’est pas facile.
Si on reste dans l’analogie de la plante, si tu veux qu’elle grandisse, ça va te demander d’aller acheter un nouveau pot, d’aller acheter un gros sac de terre, d’acheter des outils.
Et si comme moi, t’as pas d’expérience en plantes, tu vas devoir regarder quelles sont les options, chercher l’info, demander conseil.
Une fois que t’as acheté ce qu’il faut, tu dois encore ramener le tout chez toi et si t’as pas de voiture, ça va te demander d’avoir la force pour tout trimbaler chez toi, peut-être que tu devras aller demander de l’aide.
Et une fois que tu as tout ce qu’il faut chez toi pour changer la plante de pot, il faut encore le faire : il faut se salir les mains, il faudra peut-être regarder des vidéos pour voir comment faire. Il faudra peut-être prendre l’habitude de l’arroser plus, ou plus souvent.
C’est pour ça que la majorité des gens préfèrent rester dans leur pot, même si il est trop petit et même s’ils pourraient grandir de 10x leur taille actuelle. Parce que ça demande de l’effort, ça demande du temps, ça demande des connaissances, ça demande de faire confiance au processus et de croire en soi.
Si c’était facile, tout le monde vivrait sa vie de rêve.
C’est difficile parce que ça demande de croire en soi.
Ça demande de se convaincre que ce qu’on veut au fond de nous est réellement possible, et que c’est pas seulement pour les autres.
Ça demande de savoir où on veut aller.
Et d’avoir le courage de suivre ce chemin.
Je pense d’ailleurs qu’en tant que femmes, on a tendance à se faire toutes petites, à ne pas vouloir attirer l’attention, à ne pas oser rêver trop grand, à vouloir plaire à tout le monde et à ne pas vouloir intimider.
On a tendance à s’auto-saboter et à se contenter de ce qu’on a.
Mais je veux que tu t’imagines deux secondes à quoi pourrait ressembler ta vie dans 6 mois, dans un an, dans cinq ans si tu décidais, dès aujourd’hui, de croire en toi comme personne ne l’a jamais fait avant.
Si tu décidais de faire un plan pour créer ta vie de rêve plutôt que de l’imaginer et assumer qu’elle n’arrivera jamais parce que t’es pas assez bien pour.
Je sais que tu voudrais actuellement avoir une autre réalité.
Le meilleur moment pour commencer à t’entrainer, à travailler sur un projet, à te former dans un domaine, c’était hier. C’était il y a cinq ans. Le deuxième meilleur moment, c’est aujourd’hui.
Parce qu’on veut pas arriver dans cinq ans en se demandant où on serait si on avait commencé avant. Si on avait commencé aujourd’hui.
Donc c’est maintenant qu’il faut planter les graines pour pouvoir les voir fleurir dans six mois, dans un an et pour les années qui suivent.
Comment on plante concrètement les graines dans sa vie, comment on crée ses opportunités, par où on commence :
1. Qu’est-ce que tu veux ?
C’est étonnant, mais beaucoup de gens ne savent pas concrètement ce qu’ils veulent.
Demande aux personnes autour de toi qu’est-ce qu’elles veulent dans leur vie, et on te répondra “être heureuse”, “être riche” ou “avoir du succès”.
En soi, ces trois choses, elles veulent strictement rien dire.
- Qu’est-ce que ca signifie pour toi?
- Qu’est-ce que tu veux concrètement?
- Qu’est-ce qui va te rendre heureuse, qu’est-ce qui va te donner du succès, à quel moment est-ce que tu te considèreras riche?
La majorité des personnes ne se posent pas ces questions et donc elles ne savent pas où elles vont et elles se laissent porter par la vie en espérant qu’un miracle arrive et leur apporte toutes ces choses.
Il y a quelque chose qui fonctionne mieux que d’attendre un miracle, c’est de créer une vision.
Créer ta vision, c’est simplement imaginer la réalité que tu veux vivre, imaginer la personne que tu veux être.
Pour créer ta vision, tu peux :
- Fermer les yeux et imaginer ta vie de rêve — où est-ce que tu te trouves? avec qui? à quoi ressemble ta situation financière? ton quotidien? tes relations? ta vie pro? ta santé?
- Aller sur Pinterest et créer un vision board — rassembler des images, phrases, mots qui reflètent ce que tu veux vivre
Plus tôt tu le fais, mieux ce sera, parce que tu auras une direction, une destination à mettre sur ton GPS.
Quand on parle d’objectifs, de rêves, de vision, on pense souvent à des choses tangibles qu’on veut avoir : à certains chiffres qu’on veut atteindre, à la voiture qu’on veut conduire, au poids qu’on veut voir sur la balance, à la maison dans laquelle on veut habiter, le sac, les chaussures qu’on veut pouvoir porter.
Il y a rien de mal à ça, mais à mon avis, c’est qu’une partie de l’équation.
L’autre partie, c’est de savoir pourquoi tu veux cet objectif et comment tu veux te sentir.
Parce qu’au fur et à mesure que tu vas te diriger vers tes objectifs externes, tu vas remarquer que certains d’entre eux ne sont pas ce que tu pensais, ou qu’ils ne t’apportent pas ce que tu pensais qu’ils allaient t’apporter.
Quand tu gardes en vue ton pourquoi et le comment tu veux te sentir, c’est beaucoup plus simple de laisser aller certains objectifs et/ou de les adapter sans que ça se sente comme un échec.
Exemple réel de ma vie : un de mes objectifs, c’était d’avoir des abdos visibles, d’avoir des abdos dessinés.
Mais ce que je réalisais pas avec cet objectif, c’est qu’avoir des abdos dessinés, c’est très difficile, surtout en tant que femme, parce que le niveau de gras doit être très bas, surtout si tu stockes facilement là la graisse.
Ce qui veut dire que tu dois faire beaucoup de cardio, il faut faire très attention d’un point de vue alimentaire.
Et j’ai essayé. Mais quand j’ai compris tout ce que je devais faire pour voir mes abdos?
J’ai réalisé que l’objectif était pas pour moi en fait – parce que j’avais pas envie de me restreindre, d’avoir faim, et de devoir faire je sais pas combien d’heures de cardio par semaine.
J’aurais pu le prendre comme un échec mais ça a pas été le cas parce que je savais le pourquoi qu’il y avait derrière et je savais comment je voulais me sentir.
Dans le temps, je voulais qu’on voit mes abdos pour me sentir bien dans mon corps et pour avoir l’air fit.
Mais surprise, quand j’ai commencé à perdre du gras, à faire du cardio, à faire attention à ce que je mangeais, j’ai commencé à me sentir moins bien ; j’avais faim, j’avais moins d’énergie, je commençais à avoir une mauvaise relation avec la nourriture, je me sentais pas fit du tout.
Et c’est là que j’ai réalisé que la manière dont je voulais me sentir était bien plus importante que l’objectif externe qui était d’avoir un certain physique.
C’est pareil pour les personnes qui se fixent de perdre un certain nombre de kg.
Si tu t’inscris à la salle parce que tu veux perdre dix kg et que tu commences à t’entrainer, à faire du renforcement musculaire, il y a des chances pour que tu perdes du gras mais aussi pour que tu prennes du muscle.
Alors peut-être que ta balance te dira que t’as « seulement » perdu 5 kg mais en réalité, tu as complètement changé la composition de ton corps et maintenant tu te sens beaucoup mieux et t’as un meilleur physique.
Mais si on regarde l’objectif tangible de perdre 10 kg, alors ton objectif il est pas atteint.
Alors qu’est-ce qui compte, le poids sur la balance ou ton physique et la manière dont tu te sens?
Et ça s’applique dans tous les domaines de nos vies.
C’est pour ça que je parle plutôt de vision que d’objectifs parce que la vision est beaucoup plus large et englobe tous les aspects de ta vie et de ton quotidien.
2. Où est-ce que tu es ?
Avant de faire un point sur ta réalité actuelle, je veux que tu comprennes bien que tu ne commenceras jamais de zéro.
Peu importe tes objectifs, tes rêves, qui tu veux devenir, tu ne dois pas effacer qui tu as été jusqu’à maintenant mais continuer à bâtir sur tout ce que tu as vécu, créé et sur ce qui t’a forgé.
Tu cherches pas à créer un nouveau toi mais la meilleure version de qui tu as été jusqu’à maintenant.
Et pour aller en direction de cette meilleure version, tu dois d’abord savoir où tu es en ce moment et en quoi tes habitudes, pensées, actions de maintenant font que tu t’es pas exactement là où tu voudrais être.
C’est un exercice super inconfortable.
Ça va peut-être te faire rappeler que t’es encore très loin de tes rêves.
- Que tu vas devoir créer une nouvelle réalité.
- Que tu vas devoir faire des choses qui te font peur.
- Que tu vas devoir aller à contre-courant de ce qu’on te dit de faire et comment.
- Que tu vas peut-être être la seule à croire en ta vision.
Encore une fois, si c’était simple, tout le monde vivrait sa vie de rêve.
Je suis prête à parier que 95% des personnes autour de toi ne font pas ce travail.
Et c’est ce que ça va te demander de faire pour faire partie de ces 5% personnes qui vivent une vie qu’ils ont créé et qui les satisfait pleinement.
Je te laisse quelques questions simples pour t’aider à faire le point (je te conseille vivement de répondre sur le papier) :
- Comment tu te sens à la fin de tes journées? À la fin de tes semaines?
- En quoi est-ce que t’investis ton temps libre?
- Quelles sont tes valeurs? Ta mission dans ce monde?
- Comment tu te parles à toi-même?
- Est-ce que ton travail t’épanouit? Si non, pourquoi?
- Quelles sont mes habitudes en termes de bien-être physique et mental, de finances, de relations?
- Est-ce que ce que je fais au quotidien contribue à mes rêves ou m’en éloigne?
Répondre à ces question va commencer à dévoiler qu’est-ce qui ne se sent pas correct, la raison pour laquelle tu stagnes et pour laquelle tu n’es peut-être pas fière de toi en regardant les années passer.
Parce qu’il faut pas se mentir : ta situation actuelle est le résultat de tes actions passées et des croyances qui ont dicté tes actions jusqu’à maintenant.
Et j’aime toujours mentionner les croyances parce que jusqu’à maintenant, t’as sûrement déjà pris des nouvelles résolutions mais t’as pas réussi à les garder.
T’as sûrement déjà commencé quelque chose pour finalement le laisser tomber parce que t’avais “pas le temps”, “la flemme” ou parce que c’était “trop difficile”.
Je dis pas qu’il faut toujours finir ce qu’on commence, parce que c’est pas vrai, mais il y a beaucoup de fois où on a des élans de courage, de motivation, où on ose se lancer pour suivre quelque chose qui nous prend le coeur, et finalement on se trouve des excuses.
Souvent, ce qu’il y a derrière ces excuses, c’est des peurs, des insécurités, on a des mécanismes de défense qui s’activent.
Par exemple, il y a beaucoup de personnes qui n’arrivent pas à perdre du poids non pas parce qu’elles sont pas assez disciplinées mais parce qu’être en surpoids leur permet de se cacher — et donc perdre du poids signifierait être vue, de se faire remarquer, être exposé. Même si la tête, le conscient veut perdre du poids, il y a un “mais” dans le subconscient qui dit “si tu perds du poids, tu vas être en danger”.
C’est le cas dans tous les aspects de ta vie.
Si t’as grandi en entendant tes parents dire que les personnes qui ont beaucoup d’argent sont des égoïstes, des radins et des hypocrites qui ne pensent qu’à eux, tu vas peut-être avoir de la peine à générer de l’argent ou à garder l’argent dans ton compte en banque parce que dans ton subconscient, avoir de l’argent signifie que tu ne vas pas être aimée par ta famille.
Une fois que tu réalises ça, tu comprends beaucoup de choses sur toi et sur la situation dans laquelle tu te trouves actuellement.
Et c’est exactement ce qu’on veut : non seulement définir quelles sont les actions qu’on fait au quotidien et qui ne bénéficient pas notre version supérieure, mais aussi quelles sont les croyances qui sont dans notre subconscient qui dirigent ces actions – c’est un peu comme si on était une marionnette dirigée par notre subconscient.
Donc ici, ça peut aussi aider de prendre chaque partie de ta vie avec laquelle t’es pas satisfaite et te demander :
- Quelle partie de toi ne veut pas changer ?
- Qu’est-ce que tu perds en changeant ?
- Qui est-ce que t’as peur de blesser/décevoir en changeant ?
3 : Quel est le pont ?
Maintenant que t’as défini où tu es et où tu veux aller, il ne reste plus qu’à tracer ce qui va lier les deux : le pont.
Ce qui sépare où tu es actuellement de où tu veux être.

Le pont représente les actions que tu dois mettre en place, les habitudes que tu dois suivre, les connaissances dont t’as besoin pour arriver de l’autre côté.
La plupart du temps, nos objectifs ont l’air hyper éloignés et inatteignables. Mais les choses changent quand tu commence à lister tout ce que tu dois organiser, chercher, faire, apprendre pour y arriver.
Et quand je dis tout, c’est tout, dans les moindres détails.
Si ton objectif est d’améliorer ta situation financière, une des premières actions peut être de chercher trois livres de finances personnelles. La deuxième, d’acheter les livres. La troisième, de te fixer l’objectif de lire 10 pages par jour pour réussir à lire ces trois livres en trois mois.
Ici, on veut lister chaque petite étape du processus, même si c’est simplement “envoyer un message à Mélanie pour lui demander qui est son conseiller financier”.
Ça peut paraitre très minime mais c’est exactement ce qui va te permettre d’avancer plutôt que de dire “je le ferai quand j’aurai le temps” — qui finira probablement en jamais.
Une fois que t’as listé toutes ces petites étapes, il ne te reste plus qu’à les planifier dans ton calendrier.
Perso, j’aime faire une planification en début d’année où je décide en gros ce que j’aimerais accomplir chaque mois. Ensuite, au début de chaque mois, je planifie les plus petites étapes dans mon calendrier, semaine après semaine.
J’adore l’organisation et tenir mon calendrier à jour parce que quand c’est dans ton calendrier, tu en fais une priorité✨
Cette partie est très pratique mais il y a un autre élément qui va entrer en jeu : ton identité.
Ton identité représente qui tu es : tes valeurs, tes croyances, ta manière de penser, de te parler, ton vécu.
Cette identité est développée sur la base de ce que t’as vu, entendu, interprété, expérimenté depuis la première minute que t’es arrivée au monde. Et l’identité est le facteur déclencheur de nos actions et inactions.
Par exemple, si tu es convaincue depuis toujours que t’es nulle avec les chiffres, ça va être très difficile pour toi de changer ta réalité financière, de gérer ton argent, d’investir ton argent — parce qu’avant même d’avoir l’opportunité de le faire, tu vas dire que c’est pas pour toi.
Un autre exemple : si tu es convaincue que t’aimes pas le sport, ça va être compliqué pour toi de changer ton physique — encore une fois, parce que ton identité te dit que t’es pas faite pour le sport.
Donc ici, ça va être important de dézoomer sur ta propre vie et te demander : quelle identité est-ce que je me suis créée jusqu’à maintenant ? Quelles sont ces choses que je me répète sans cesse et qui m’empêchent d’être qui je veux devenir ?
Parce que la bonne nouvelle, c’est que tu peux changer ton identité. Et c’est là que vient cette phrase que j’ai entendu pour la première de fois de Mel Robbins, qui dit : Agis comme la personne que tu veux devenir.
Et c’est exactement ce qui distingue les personnes qui changent leur vie de celles qui laissent tomber leur bonnes résolutions au bout de la troisième semaine de janvier.
Comment ça marche concrètement : visualise la personne que tu aimerais être et fais ce que cette version de toi ferait — quelles actions elle prend, comment elle pense, comment elle se parle, etc.
Si c’est plus simple, tu peux aussi imaginer ce qu’une personne que tu admires actuellement ferait à ta place.
C’est exactement ce qui m’aide à me lever tous les matins à 5h45 pour aller m’entrainer.
C’est exactement ce qui m’aide à enregistrer ce podcast alors qu’à la base j’avais envie de me poser dans mon lit et regarder YouTube.
C’est exactement ce qui m’aide à être indulgente avec moi-même quand mon corps a besoin de repos et est débordé de stress.
J’ai pas toujours envie de faire ces choses.
Mais j’ai envie d’être sportive et d’avoir un corps dans lequel je me sens bien.
J’ai envie de créer du contenu et impacter les femmes qui m’écoutent et qui me regardent.
J’ai envie d’avoir une santé mentale stable et une bonne relation avec moi-même.
Ton identité change quand tu changes tes actions.
Et tes actions changent quand tu changes ton identité.
Il y a plein de fois où ce sera pas facile, surtout au début quand t’essaierais de changer tes habitudes et de commencer à croire en toi.
Mais plus tu prendras des actions alignées avec cette personne que tu veux être, plus ça te donnera la confiance et la preuve que oui, tu peux le faire et tu VAS le faire.
Peu importe si tu lis cet article ou regarde la vidéo en début d’année ou en fin d’année, je veux que tu saches qu’on a pas besoin d’être un janvier ou d’être un premier du mois pour faire ce travail et définir qui tu veux être.
Parce qu’on a toujours le choix et la vie c’est maintenant.
J’aime bien penser que vivre la vie c’est comme être peintre. Quand on arrive dans ce monde, on nous donne à tous une toile blanche sur laquelle on peut peindre ce qu’on veut.
Au début, on a peut-être pas tous accès aux mêmes pinceaux, couleurs ou techniques de peinture, mais on a tous cette toile blanche devant nous qu’on peut transformer comme on veut.
Je trouve que ces moments où on a des crises d’identités, où on se sent perdues sont parfaits pour être très honnête avec soi-même et se demander qu’est-ce qu’on a été en train de peindre en pilote automatique. Qu’est-ce que notre subconscient a été en train de peindre à notre place.
Et pourquoi il a peint avec certaines méthodes, certaines couleurs ou certains types de pinceaux jusqu’à maintenant.
Et à quel moment t’as cru que c’était pas accepté de peindre avec les doigts ou de mélanger plusieurs couleurs pour créer des nuances qu’on n’avait jamais vu avant.
Parce qu’on a tendance à oublier qu’on a qu’une seule toile blanche. On a qu’une chance pour en faire une véritable oeuvre d’art. Et qu’on peut y peindre exactement ce qu’on veut, de la manière qu’on veut – la seule règle étant qu’on ne sait pas à quel moment on va nous retirer notre toile.
J’espère de tout coeur que cet article t’aura inspiré à investir en toi, à rendre ta vision réelle et à briller – parce que c’est comme ça que le monde a besoin de toi
Tu es suffisante, tu es capable, et tu peux faire tout ce que tu veux dans ce monde.